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Rabbi israel Dov Odesser nous révèle à la fin de sa vie, le secret de la lettre reçus du ciel 

Rabbi Israël Dov Odesser (1888–1994), affectueusement surnommé « Saba » (le grand-père), fut une figure centrale du mouvement hassidique de Breslev au XXe siècle.

Son nom est indissociablement lié au « billet » mystérieux qu’il affirma avoir trouvé en 1922, contenant l’énigmatique phrase :

Na Naḥ Naḥma Naḥman MeOuman
(נ נח נחמ נחמן מאומן)

Selon les dires de Rabbi Odesser, cette phrase lui aurait été envoyée de manière miraculeuse par l’âme de Rabbi Naḥman de Breslev, décédé plus d’un siècle auparavant.

La phrase représente un déploiement progressif du nom « Naḥman » et est interprétée comme « le chant de la rédemption », prophétisé par Rabbi Naḥman lui-même. La découverte du billet survint après une période de profonde détresse spirituelle.

Rabbi Odesser, rongé par le remords d’avoir rompu le jeûne du 17 Tammouz (qu’il observait habituellement en raison de sa pauvreté), s’était retiré dans sa chambre pour prier.

Guidé par une inspiration intérieure, il ouvrit au hasard un livre dans une armoire verrouillée, et y trouva le billet portant ce message réconfortant.
Bien que l’authenticité du billet ait été mise en doute par beaucoup, Rabbi Odesser est resté fermement fidèle à sa conviction.

Il consacra le reste de sa vie à diffuser ce message, rassembla de nombreux disciples, et fut l’un des fondateurs du mouvement « Na Naḥ », un courant vivant et dynamique du hassidisme de Breslev.

Aujourd’hui, l’expression « Na Naḥ Naḥma Naḥman MeOuman » est devenue un symbole reconnu, visible sur des autocollants, des kippas, et entendue dans des chants joyeux à travers tout le pays. Elle symbolise un appel à la joie, à la simplicité et à une connexion spirituelle profonde.

Comme il l’a dit :
« Cette merveilleuse chanson 'Na Naḥ Naḥma Naḥman MeOuman' sera inscrite à l’entrée de chaque maison, en tout lieu et dans chaque ville. »
Et comme notre maître Rabbi Naḥman l’a dit :
« À la fin, tout le monde sera un homme de Breslev (un cœur de chair). »

La grandeur des ouvrages Breslev

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Les contes de Rabbi Nahman
Likouté Moharane
Le livre des comportements - les feuilles qui guérissent - les discutions de notre Maître Nahman - La vie de Rabbi Nahman
Les 8 livres de recueillies Halahiques - Recueilles de conseils - Recueilles de prières
Le livre
disparu
Le livre
qui à été brulé
Likouté Moharane
Tout les livres Breslev

Les contes 

Dans les Contes (Sipouré Maassiyot), notre maître, Rabbi Naḥman de Breslev (que la mémoire du juste soit bénie), a offert une réponse à toutes les formes d’engourdissement spirituel.

Dans l’enseignement n° 60 du Likouté Moharan, Rabbi Naḥman révèle qu’il existe des personnes pour lesquelles aucune parole ne peut les réveiller de leur sommeil spirituel.

Car la Torah a soixante-dix facettes, et chaque être humain est rattaché à au moins une de ces facettes. Lorsqu’un homme tombe dans une sorte de torpeur, il est parfois possible de le réveiller en lui montrant à nouveau son propre visage, c’est-à-dire en lui parlant à travers la facette particulière de la Torah qui lui correspond.

Mais que faire lorsque quelqu’un est tombé en dehors de toutes les soixante-dix facettes ?
Plus rien ne le touche, plus rien ne lui parle... 

À un tel état, il n’existe aucun remède à l’intérieur des limites des soixante-dix facettes de la Torah.

Ici, il faut une illumination qui vient de la racine, d’un endroit au-delà des soixante-dix visages.

 

Les « soixante-dix visages » sont appelés « soixante-dix années », car ils diffèrent les uns des autres.

Les « années anciennes » (שנים קדמוניות) sont une expression désignant la racine de la Torah, ce qui se trouve au-dessus des soixante-dix facettes de la Torah.

 

C’est ce qu’on appelle « la Torah du vieillard caché » (אורייתא דעתיקא סתימאה) – une sagesse ancienne et profondément voilée.

 

Dans ses Contes issus des années anciennes, Rabbi Naḥman a revêtu une lumière extrêmement ancienne, capable de réveiller même celui qui a perdu tout lien avec la Torah et avec l’éclat de son âme.

 

Dans ces récits, est caché un remède pour ceux à qui plus rien ne parle...

 

« Car il y a des hommes qui dorment toute leur vie, et même si aux yeux du monde ils semblent servir Dieu…malgré cela, Dieu n’en tire aucune satisfaction ».

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Na Nah Nahma Nahman Meouman

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